Il semble qu’il existe dans le cerveau une zone tout à fait spécifique qu’on pourrait appeler la mémoire poétique et qui enregistre ce qui nous a charmé, ce qui nous a émus, ce qui donne à notre vie sa beauté.
Le hasard dispose d’outils perçants et le destin, redoutablement astucieux, sait se frayer inopinément un chemin conduisant aux âmes et bouleverser les natures les plus pétrifiées.
Je suis d’humeur à me dissoudre dans le ciel.
Nous ne voyons jamais les choses telles qu’elles sont, nous les voyons telles que nous sommes.
Quand on aime quelqu’un, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire, jusqu’à la fin des temps. Le temps passé dans l’amour n’est pas du temps, mais de la lumière.
La vie est un torrent, le temps passe et passe incessamment.
Tout ce qui advient est attendu : brusquement nous changeons de chemin. Et c’est au bord du gouffre que peut arriver ce changement. Je crois en l’improbable, et ma conscience travaille pour que ce soit cet improbable qui advienne.
Aimer les yeux fermés, c’est aimer comme un aveugle. Aimer les yeux ouverts, c’est peut-être aimer comme un fou : c’est éperdument accepter. Je t’aime comme une folle…
manque manque
Le bonheur on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que nous avons.
J’ai assez lutté, j’ai assez souffert, je me suis assez dévoré le cœur. Il est temps que le jour se lève; j’ai assez vécu dans la nuit.